Reynald Roussel
(Tout d’abord, je tiens à remercier Reynald Roussel d’avoir eu la gentillesse de nous accorder cette interview malgré ses nombreuses occupations, conférences et déplacements)
Pour mieux vous connaitre
- Première question, pour ceux qui ne vous connaissent pas encore, à quel âge avez-vous découvert votre don ?
R.R. : Pour moi ce n'est pas un don, mais une faculté.
Enfant, je croyais que tout le monde possédait le même don médiumnique.
Je pensais que les autres voyaient et entendaient comme moi.
Hélas ! Ce n’est pas le cas.
Ma première expérience se manifesta dans l’église de mon village en Normandie. Au lieu de jouer à la guerre avec mes copains, je préférais passer mon temps à l’église pour prier dans le silence.
Dans cette église, se trouvait une statue du Saint Curé d’Ars. Or, un jour, je vis cette statue se transformer et prendre vie. J’étais subjugué mais n’éprouvais aucune peur parce qu’il était prêtre. Sa forme était un peu différente de la nôtre : plus fluide, plus lumineuse. Il me souriait et me parlait.
Son message était clair : « Il faut prier, prier, aider ! » Il m’apparut plusieurs fois. Ce fut mon premier contact avec un personnage d’Église.
Depuis, le Curé d’Ars s’est manifesté à moi à plusieurs reprises. Pas toujours pour me complimenter, certes, mais souvent pour me secouer. Après cette première vision, je me confiais à ma grand-mère, la seule à qui je pouvais raconter mes visions et mes écoutes.
Elle qui, d’habitude, comprenait tout, n’a rien compris ce jour-là. Elle m’a emmené voir la guérisseuse du village. Celle-ci lui a conseillé de me faire prendre de l’huile de foie de morue pendant trois semaines. Le résultat ne fut pas probant puisque, loin de disparaître, mon don prit de l’ampleur.
- Y’a-t-il des membres de votre famille qui possèdent également ces facultés ?
- R.R. : Non, sujet tabou dans ma famille.
- Comment se manifeste votre médiumnité, plus par clairvoyance, clairaudience ou clairsentience ?
- R.R. : Je ne me pose pas ces questions! J’entends par les oreilles, je vois avec mes yeux physiques ou le 3 ème œil pour ceux qui aiment se dire cela.
Je touche l’invisible, donc le défunt, si il le veut bien, j’ai des odeurs,
Je vois les couleurs, les sons, je ressent les temperatures…
- Votre médiumnité s’est-elle développée d’avantage avec le temps et l’expérience ?
- R.R. : Non, j’ai simplement pris confiance en moi d’années en années.
- Avez-vous déjà vécu une NDE ?
- R.R. : Non, il y aurait plein de chose à remettre en place dans les récits de ces personnes qui disent être allées aux portes de la mort!!!!
Le Guide
Pour le 1er, je l’ai évoqué au début de cet entretien, à l'église de Neufchâtel.
Les 2 autres, là c’est personnel.
- Pourriez-vous nous dire comment s’est-il manifesté à vous pour la première fois ?
- R.R. : Très simplement, avec moi il n’y a rien de sensationnel, donc c’est inintéressant pour ceux qui attendant des trucs extraordinaires.
Il s’est assis près de moi un soir, en douceur, s’est penché sur moi et m'a expliqué ma vie!
- Vous appelé votre Guide "l’Ami" est-ce lui qui s'est nommé ainsi ?
- R.R. : L'ami, c'est moi qui ai choisi ce nom.
- Est-ce qu’il se montre physiquement à vous ?
Et si oui, pourriez-vous le décrire ?- R.R. : Ils n'ont pas de physique. Ce sont des énergies, mais ils prennent une forme humaine afin que l’on n'ait pas peur ou que l'on soit sûr que ce soit eux à chaque fois.
- Faites-vous une différence entre le Guide et l’Ange Gardien ?
- R.R. : GRANDE QUESTION
Pour moi NON, d’autre fois OUI.
Tout ce qui compte c’est d’être aidé, non?
Par qui? PEU IMPORTE
- Votre Guide vous aide-t-il également dans votre vie privée, ou est-il là uniquement pour vous aider lors de la médiumnité ?
- R.R. : Il m’aide dans mes contacts en salle et en privé pour les personnes en deuil.
Dans la vie privée, oui bien sûr, dans les moments importants de ma vie, il n’est pas une roue de secours, il met des obstacles quand je prends une décision qui pourrait me nuire gravement, il me laisse libre de mes choix sauf danger, je suis prévenu, j'ai le libre arbitre.
- Est-ce qu’un défunt ou votre Guide vous a déjà sauvé de quelque chose ? Ou prévenu d’un danger ?
- R.R. : Oui. Le Guide.
Je me suis fait voler ma moto 2 fois, je n'ai pas à faire du 2 roues.
Les défunts, eux n’ont pas le pouvoir d’agir sur nous !!!
Et heureusement.
Contacts Médiumniques
- Selon votre expérience, pensez-vous que la médiumnité soit une véritable aide pour les personnes endeuillées ?
- R.R. : Vous plaisantez ?
Oui, bien sûr. C’est une aide quand les cachets, les médecins, les psychologues ne peuvent plus rien pour vous…..
Un médium peut vous aider à supporter ou à avoir un autre regard sur l’absence, mais en aucun cas enlever la douleur.
Il peut apaiser, aider à poursuivre la route, à survivre.
Après, c’est au cas par cas!
La médiumnité n'est pas dangereuse, ce sont certains mediums qui sont dangereux.
- Pourriez-vous nous donner un exemple concret d’un contact médiumnique qui ait sauvé ou aidé une personne ?
- R.R. : Un soir, une visiteuse dynamique, sportive, à la mine avenante, me tend la photo d’un homme. La grand-mère, qui a élevé cette personne, apparaît et assiste à l’entretien, un sourire moqueur aux lèvres.
Je dis à ma visiteuse :
— « Votre grand-mère est là et sourit ironiquement. »
— « Vais-je épouser l’homme que je fréquente actuellement ? »
L’ami (mon guide) me souffle un "oui" très net.
— « Très bien ! C’est tout ce que je voulais savoir. Au revoir. »
Et ma consultante disparaît.
Dix mois plus tard, je reçois des insultes téléphoniques, suivies d’une lettre de menaces. L’homme avait épousé une autre personne quelque temps auparavant.
Je propose une consultation gratuite pour comprendre l’erreur.
Refus catégorique…
Deux ans plus tard, cette personne se manifeste à nouveau et me demande d’excuser son comportement insultant et menaçant, puis elle m’avoue :
— « J’avais décidé de me suicider si vous m’aviez annoncé que je n’épouserais pas ce monsieur. »
A cet instant, sa grand-mère surgit et me demande de lui transmettre le message suivant :
— « Petite, tu as été sauvée par le monde invisible. »
J’explique ensuite à ma visiteuse le fonctionnement de l’astral, l’intervention des guides et l’importance de la prière.
Ainsi, en 1993, je reçois une personne au visage sévère, tendue, désagréable.
Sur la photo qu’elle me tend, je découvre un enfant de cinq ans.
— « Que voyez-vous ? me demande-t-elle d’un ton sec. »
— « Je ne vois rien, ne ressens rien, excusez-moi. »
— « Mais ce petit est malade, ne le voyez-vous pas ? »
— « Non, Madame. »
Rouge de colère, ma visiteuse me tend quatre dossiers médicaux provenant d’hôpitaux très connus. Les radios, scanners, I.R.M. mentionnent tous le même diagnostic négatif : "L’enfant est perdu. Il ne lui reste qu’à peine deux ans à vivre."
Soudain, l’Ami apparaît, accompagné d’un médecin de l’Au-delà :
— « Ce petit n’est pas en danger. Il faut simplement qu’il subisse des manipulations de la colonne vertébrale pour retrouver la santé. »
Je transmets cette phrase à la maman qui n’en croit pas un mot. Elle me jette l’argent au visage et, furieuse, veut me quitter en me lançant :
— « Vous êtes le troisième escroc à me raconter la même chose. »
Mon guide ajoute cet autre message que je répète fidèlement :
— « Madame, soyez attentive aux messages donnés par les intermédiaires, votre fils n’est pas malade. »
Ma visiteuse écoute attentivement cette dernière phrase.
— « Je prierai pour vous », lui dis-je en lui rendant son argent.
Dix-huit mois plus tard, je reçois un énorme bouquet de fleurs avec ce mot :
— « J’ai suivi les conseils de votre Guide. Mon enfant a retrouvé sa bonne santé. »
Ce jeune, âgé maintenant de dix-huit ans, assiste à mes réunions publiques. Sa mère, reconnaissante, s’occupe d’enfants en difficulté…
- Pensez-vous que la place des médiums va évoluer dans la société dans les années à venir ? (notamment en France)
Vu le nombre d’escrocs qui travaillent dans ce domaine, non!
Et en plus, avec ceux qui prennent des noms du style "Ange de lumière",
Christ de machin-chose… enfin c’est la cour des miracles, hélas.
Les défunts
- Y’a-t-il des défunts célèbres qui viennent lors de vos séances ?
Si oui, pourriez-vous nous raconter une anecdote ?
Oui, j’ai été en contacts avec Edith Piaf, Marlene Dietrich, Bourvil, Fernandel, Catherine de Médicis, la liste est longue.
Des anecdotes, non ils se manifestent toujours pour du sérieux, rien de drôle, Charles de Gaulle, Marie Antoinette, Nouréïev, Gabrielle Chanel…
- Quel est votre point de vue à propos des âmes supposées "errantes" ?
- R.R.: Aïe aïe la question !!!
Je n’y crois pas, désolé.
Je suis peut être le seul, mais je ne suis pas très élevé spirituellement, donc un petit médium.
Donc non, je n’ai croisé personne errant.
OU ALORS JE SUIS UN TRÈS GRAND MEDIUM ET SUIS TRÈS ÉLEVÉ SPIRITUELLEMENT ET SUIS AU DESSUS DE CA (humour)
- Beaucoup de gens se plaignent qu’ils ne reçoivent pas de signes de leur défunt et d’autres en reçoivent parfois en grand nombre, d'après vous, quelle en est la raison ?
- R.R.: Honnêtement, aucune idée, le défunt n’est pas à notre service.
En grand nombre, oui, facile de s’inventer des signes, prudence.
- Faites-vous toujours des contacts avec les animaux ?
- R.R.: Oui, en public quand la séance est consacré à nos amis les animaux et en privé si il se manifeste pendant l’entretien.
Mais, je ne reçois pas pour un animal en privé.
- Y'a-t-il des races d'animaux (décédés) qui viennent plus volontier que d'autres lors des séances ?
- R.R.: Non, ce sont eux qui décident de passer ou pas,”enfin avec moi”
- Avez-vous vécu des expériences avec un ou des défunts qui vous aient fait peur ?
- R.R.: Non, jamais, jamais.
La seule fois où j’ai eu peur, c'est quand j'ai vu le Christ devant moi, 4 secondes.
Peur de ? Je sais pas, comment dire, mal à l’aise, indescriptible.
Les Rencontres
- Je sais que vous avez rencontré Marthe Robin, pourriez-vous nous en dire quelques mots ?
- R.R.: En quelques mots non, ma rencontre, oui!
Je souffrais énormément du dos:
La souffrance et le miracle de Marthe Robin
J’ai eu brutalement très mal au dos, comme un poids énorme sur les lombaires. Progressivement cette douleur est devenue constante, impossible à soulager avec des antalgiques. Ces douleurs étaient si fortes que parfois je ne pouvais me lever pour aller travailler et que je m’écroulais dans la rue sans pouvoir me relever pendant plusieurs minutes.
J’ai vu des rhumatologues et des guérisseurs qui m’ont tous dit qu’il n’y avait rien à faire, car mes vertèbres se soudaient et formaient des becs de perroquet.
Pendant deux ans, je vécus un enfer. La douleur ne me quittait jamais, ni de jour ni de nuit. Aucune position ne l’atténuait, aucun médicament ne me soulageait.
Je me mis alors à prier intensément, en demandant qu’on mette quelqu’un sur ma route. J’étais en arrêt de travail et je ne pouvais que lire ou prier.
Par hasard, je lus un livre sur Marthe Robin, et je décidai de la rencontrer.
Très vite j’organisai mon départ avec un ami qui accepta de me conduire, et un matin d’août j’arrivai chez elle, dans la Drome.
Je sonne à sa porte, une femme vient m’ouvrir, me demande si j’ai rendez-vous. Je lui explique que non, mais que je souhaiterais voir Marthe Robin.
Elle me fait entrer et me demande d’attendre dans une petite cuisine où il doit faire au moins trente-cinq degrés (un poêle à charbon était allumé).
Pendant cette attente, je regrette d’être venu, je ne cesse de me demander ce que je fais là !
La dame revient et me dit : « Marthe vous attend ». Il m’est alors impossible de reculer et de partir en courant comme j’en ai pourtant l’envie, et je rentre dans la chambre où reçoit Madame Robin.
C’est une femme de soixante seize ans, allongée, dans la pénombre, sur un lit protégé d’un voile de mousseline.
D’emblée elle me dit : « Vous vous demandez ce que vous faites ici… Venez, nous allons prier, nous allons réciter Souvenez-vous Vierge Marie ».
Je ne connais pas cette prière, et Madame Robin la récite seule. Puis elle me dit : « Vous avez des problèmes de foi. Maintenant nous allons dire un Je Vous Salue Marie ».
Nous prions, puis elle me parle de moi, me raconte un peu ma vie, et termine en disant : « Vous avez rencontré Jean-Marie ! ». Comme je ne comprends pas ce qu’elle veut dire, elle précise : « Jean-Marie Vianney, curé d’Ars ! ».
Devant ma surprise elle ajoute qu’il est une entité spirituelle chargée de me guider.
A ce moment, je ne pense qu’à mon dos et à mes douleurs.
Elle sourit alors : « Le dos, ça va venir ; selon la volonté du Père je peux prendre votre douleur, mais après, vous aurez à témoigner de la guérison du Père ».
Je n’adhère pas à ces paroles, car pour moi, à l’époque, tout ce qui se rapproche de l’église et de son carcan me révolte. L’atmosphère qui règne dans la pièce est très étrange ; la voix de Marthe, semblable à du cristal, paraît venir d’ailleurs, d’un autre monde. Pendant qu’elle prie, je sens que quelque chose se passe à l’intérieur de mes vertèbres, une sensation très étrange.
Puis Marthe dit : « Nous allons demander la guérison au Père, je vais prier pour vous : Père, c’est Ton enfant, il Te demande la guérison, accorde-lui selon Ta volonté. Si ce n’est pas Ta volonté, aide-le à porte sa croix ». Au moment où elle prononce ces mots toute la douleur me quitte !
Marthe continue à me parler, m’explique que je suis un médium, et que mes problèmes de foi n’ont aucune importance, qu’il faut faire selon mon cœur, comme je le ressens, mais en n’oubliant jamais la prière et en aidant les autres, en les remettant sur les rails de la foi pour qu’ils fassent leur propre chemin.
Pendant que Marthe prie en égrenant un chapelet, quelqu’un toque à la porte, trois fois de suite, et Marthe ne répond pas. Intérieurement je me dis qu’elle n’a pas entendu, et elle répond à mes pensées : « Si, j’ai très bien entendu mais l’entretien n’est pas terminé ».
Au cours de ses prières je ressens quelque chose en moi, une paix, une grâce m’envahir. Je lui dis que j’ai beaucoup de problèmes avec mes parents et elle me répond : « Vous êtes là pour les aider à changer, alors pas de culpabilité ».
Après environ vingt minutes d’entretien, elle me dit que je suis guéri et que je peux partir. Elle ajoute que dans les difficultés je peux l’appeler en pensée, lui parler et qu’elle m’aidera.
En sortant, je ne savais plus où j’étais. J’avais très froid, et je ne me souviens de rien d’autre.
L’ami qui m’avait accompagné me raconta par la suite que je me suis suspendu à la barre d’un échafaudage qui se trouvait dans la cour et que j’ai dit : « Que c’est bon de ne plus avoir mal ! »
Je n’ai jamais plus eu mal au dos. Depuis, je vais tous les ans dans sa maison, dans sa chambre, et chaque année, je demande la grâce d’aimer et une grâce précise, et chaque fois cela m’est accordé.
De retour à Paris, je suis allé voir un ami ostéopathe qui me suivait depuis deux ans, et il confirma la guérison. Il me manipula une dernière fois, et déclara que tout était rentré dans l’ordre et que je ne souffrirai plus jamais du dos.
A partir de là, mes visions qui étaient déjà nettes, devinrent d’une clarté et d’une précision extrêmes, et je pouvais aussi voir à l’intérieur des organes des gens qui venaient me consulter.
- Quelle est votre plus belle rencontre ?
- R.R.: Il n’y en a pas une spécialement mais beaucoup qui ont comptées.
Marthe Robin, Yaguel Didier, Jean Luc André, Monsieur Rouquette, Patrick Yang… et d’autres ce qui fait que je ne peux les citer tous.
Chacune on été des moments extraordinaires pour me faire devenir qui je suis à ce jour.
- La rencontre marquante ?
- R.R.: Hélène Bouvier
(Grande Médium, aujourd'hui décédée)
Livres
- Vous allez bientôt sortir un nouveau livre, le sixième, pourriez-vous nous dire quel en est le thème ?
- R.R.: Un compte-rendu de mes années dans ce domaine dit du paranormal: les gens sympas et les faux culs. Un compte-rendu qu’il m’amusait de faire, car je n’ai plus rien à dire à ce jour sur mon chemin.
" Les 4 R "
- R.R.: J’ai repris le cercle Hélène Bouvier à sa mort et comme notre milieu n’est pas sympa, j ‘ai crée mon association Rencontre Recherches Reynald Roussel ! les 4 R
La Question Finale !
- Et ma question traditionnelle pour terminer, quelle est votre plus belle expérience ?
- R.R. : La vie que je vie tous les jours !
- Avez-vous quelque chose à ajouter ?
- R.R. : Dites tous les jours à ceux que vous aimez que vous les aimez en leur disant, Je t’aime.
Je vous remercie !
* Reynald Roussel m’a demandé de retirer "Grand" Médium.
(Mais, sa modestie dût-elle en souffrir, je confirme, pour avoir eu personnellement deux très beaux - et véridiques - contacts avec ma mère grâce à lui, que Mr. Roussel est un vrai et grand médium (contrairement à tant d'autres..!)
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
"Reporter de l'Au-delà" remercie Reynald Roussel pour son aimable participation.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Ce n'est pas un don c'est une faculté...je me demande pourquoi on tient tant à cette mise au point.Une autre medium insiste aussi sur cette distinction.
RépondreSupprimerBonjour, Je vous donne ce qu’en pense Reynald Roussel à ce sujet :
RépondreSupprimer« Un don, c’est se croire supérieur à l'autre.
Un médium est un être normal.
Arrêtons avec le don Divin, ce sera plus sérieux »
Il est vrai que nous avons tous des facultés latentes, qui peuvent se développer selon sa spiritualité, notre intérêt sur ces sujets, la méditation, mais aussi, un choc ou un traumatisme, etc…