Interview de Véronique Geffroy, Propriétaire du Château de Fougeret

Véronique Geffroy

Propriétaire du "Château de Fougeret"

Interview entretien du 15 juin 2017 au Château de Fougeret

-  Pourriez-vous nous raconter dans quelle circonstance vous avez connu ce Château ?

V.G. :  Complètement par hasard, si le hasard existe, mais, je n’y crois pas trop. 

Je cherchais un Château pas très loin de l’exploitation agricole de François (Mari de Véronique) et en me baladant sur internet, etc.. je suis tombée sur un Château en ruine dans le sud Viennes, pas très loin. Donc, je suis venue le soir même.

J’ai regardé, je suis passée par le parc, pour voir comment il était. 

On a fait le tour, et là, on s’est dit, waouh! C’est une pièce incroyable, mais, c’était sous la végétation, sous les ronces, on a eu du mal pour traversait le parc pour le trouver, c’était un mikado d’arbres et on s’est retrouvé face à ce Château.

Moi, les Château abandonnés, ça m’a toujours émue, j’ai l’impression que c’est des bâtiments plein de gens qui sont enfermés-là, qui appellent, en fait. Je trouve qu’il y a des choses d’hyper émouvant dans l’abandon. Il y a une esthétique de la ruine aussi. 

Et donc, on est tombé complètement en extase, et après on s’est renseigné pour le visiter légalement, donc à l’intérieur, etc… 
Mais, ça s’est fait sur un coup de cœur, on n’a pas réfléchi sur le coup, et je l’ai visité, c’est marrant, 10 ans jour pour jour après la première visite du donjon que j’ai acheté 1 franc symbolique 10 ans avant.  10 ans jour pour jour. C’est pour ça que je crois vraiment énormément à tout ce qui est synchronicité, date, etc…
Je pense que c’est vraiment des clignotants sur des trucs importants.

-  Avez-vous, vous-même vécu des expériences de hantise avant que cela soit ouvert au public ?  

V.G. :  En fait, on a ouvert au public pour les premières « Journées du Patrimoine » donc, en septembre 2009, mais avant, c’est vrai, que moi j’ai vécu des choses assez surprenantes ici.

La première fois que j’ai vécu quelque chose, en fait, c’était une voix que j’ai entendue, mais tout près de mon oreille, c’était pas quelque chose dans une pièce, qu'on ne sait pas d’où ça vient, c’était tout près de mon oreille, c’était une voix féminine, très en colère qui me demandait ce que j’étais en train de faire.
Et sur le coup, je me suis dit, que c’était moi qui débloquais et j’étais dans la phase, tous les placards, les meubles, etc… je tirais les tiroirs, je vérifiais, j’avais un gros sac poubelle, on nettoyait, on enlevait les saloperies, il y avait des oiseaux crevés partout, les carreaux étaient cassés, c’était une ruine, quoi.
Donc, la première fois, c’était ça.

Après j’ai vu une silhouette toute noire, vers 18h, il était pas tard, traverser le hall d’entrée en glissant, très très rapidement.

Ma fille aussi avait vu une silhouette le long de la cheminée.

 Enfin, on a vécu plusieurs choses comme ça, avant de verbaliser et de réaliser que ça pourrait être des phénomènes paranormaux.
Sur le coup, on disait qu’on était crevé, on rationalisait, quoi…

- Y avait-il une réputation de hantise avant votre acquisition ?

V.G. : Non, il y avait aucune réputation d’ailleurs.
Je suis arrivée là, je me souviens, j’avais discuté une fois avec une personne du hameau qui me disait que c’était abandonné depuis longtemps, mais, personne ne m’avait parlé de ça, il y avait aucune réputation et rien ne m’était venu aux oreilles. 
Je n’avais pas particulièrement de contact avec les gens du village. 
Donc, c’est vrai que je n’en ai pas entendu parler.

- Et après votre installation ?

V.G. :  Après c’était différent. Parce qu'après, quand ça s’est su, donc, le temps qu’on vive des trucs, ça a bien demandé sept ou huit mois, c’est assez rapide finalement, quand ça s’est vraiment su, j’ai reçu des lettres, des lettres anonymes, des lettres signées, notamment, de personnes qui venaient en vacances à Queaux et n’étaient pas du village et qui se baladaient dans le parc de temps en temps, l’été, parce qu’ils trouvaient ça joli, et en fait, ils entendaient des coups dans le Château et ils ne comprenaient pas du tout d’où ça venait, puisqu’ils savaient très bien qu'il n'y avait personne, que tout était fermé.

J’ai eu des lettres aussi d’une fille qui était agent immobilier qui s’occupait des visites et qui m’avait écrit un truc, comme quoi à chaque fois qu’elle venait pour faire visiter, elle appréhendait, car il fallait qu’elle soit un peu en avant des clients et qu’elle avait vraiment vécu des trucs assez bizarres.

Les langues se sont déliées, mais petit à petit et puis j’ai reçu des Bibles, j’ai reçu plein de trucs dans la boîte aux lettres.
Donc, voilà, ça s’est fait comme ça.

-  Connaissez-vous tous les fantômes du Château ?

V.G. :  Non, en fait, c’est assez marrant, parce qu’on a des fantômes vedettes.
Les fantômes vedettes : c’est Alice, c’est Félix, c’est Floridas et Paul, qu’on a eu quelquefois, c’est le père d’Alice et Angélina, la maman de Félix.

C’est des gens qu’on a eu en TCI qui se sont présentés.
On a eu, par exemple, une super TCI qui a dit : « c’est Angélina »
C’était vraiment super net.
On a eu Félicien, je ne sais pas qui c’est, il a dit « c’est Félicien »
Puis il y a énormément de gens qu’on a eu en TCI.

-  Y’a-t-il des pièces de ce Château plus hantées que d’autres ?

V.G. :  Oui, moi je le pense. je pense qu’il y a différentes ambiances,  selon les pièces déjà, et des pièces où il y plus d’activité, alors après, les gens, me demandent tout le temps ça, il me disent, je viens là que pour une nuit, donc, je veux la pièce où il y a le plus d’activité. 

Oui, mais, je leur dis, mais attendez, on a souvent de l’activité, mais, peut-être que cette nuit, il n'y en aura pas là, mais à côté, je ne peux pas le prévoir. 
Comme je le disais, il n’y a pas de fréquence, et puis c’est une combinaison très subtile aussi, entre le bâtiment et les gens, ça j’en suis persuadée. 
La communication se fera ou pas, donc, je peux les mettre dans un endroit où il a beaucoup d’activité et il ne se passera rien. 

C’est un peu le problème, le côté dérangeant, c’est que si on veut consommer du paranormal, on peut repartir très déçu. 

Après, ça dépend de l’ouverture de chacun, ça je reste focalisée là-dessus.

On a eu des phase, où l'on a eu énormément d’activité aux Echauguettes, des fois c’était chez Alice. Chez Alice, ça a l’air un peu plus serein. Chez la grand-mère, franchement, j’ai été étonnée de ce que vous m'avez reporté, parce que d’habitude, j’aime bien la grand-mère, elle me rassure, même, ça m’est arrivé d’entendre des voix chez la grand-mère, je sais pas pourquoi, j’étais rassurée, alors que Clarisse (médium) a entendu des voix qui s’adressaient directement à elle, à côté de son oreille. 
Il y a des gens qui on dormi là, qui se sont fait choper le mollet assez fermement, donc, après, oui il y a des ambiances assez différentes selon les pièces, on a des phénomènes différents selon les pièces qui sont répétitifs, mais, je ne peux pas dire aux gens, venez-là, vous êtes sûr d’avoir des trucs. Ça, je m’en défends.

-  Diriez-vous que les esprits de ce château sont plutôt gentils, farceurs… ?

V.G. :  Je pense qu’a Fougeret, comme ailleurs, les esprits, à partir du moment que l’on est dans le postula que ce sont des anciens humains, on a de tout, comme les vivants.
On a des gens farceurs, des gens qui sont perdus, ils ne savent pas où ils habitent, ils sont complètement paumés, moi, je le ressens nettement. 
Il y en a qui sont plus dans la hargne, parce qu’ils estiment qu’ils n'avaient pas à mourir, donc, on a de tout, on a des ressentiments au même titre qu’avec des vivants.
Moi, je le ressens, c’est pour ça, qu'il y a des fois qu’on a de bonnes ambiances, des fois on a des ambiances vraiment plus lourdes, ou plus guillerettes. Ça dépend, parce qu’ils réagissent comme nous en tant que vivant, avec les mêmes émotions, les mêmes ressentiments, les mêmes regrets, puisqu’on a des esprits qui revivent tout le temps les mêmes scènes ici, donc, on a vraiment les mêmes choses qu’avec des vivants.
Après, ce qui me ferait plus peur à Fougeret, c’est si je découvrais un jour, qu’on a ce qu’on appelle des « élémentaux », des phénomènes comme ça, qui ne sont pas des phénomènes humains, c’est pas vraiment des esprits, c’est des forces non humaines.

- Des forces pensées ?

Oui, des forces pensées, exactement, des élémentaux.
Là, c’est différent, parce que, je sais que les forces pensées ou les élémentaux, c’est très difficile de les gérer, les nettoyer surtout, parce qu'elles sont un peu ingérables justement, c‘est un peu anarchique. Alors, c’est ce que j’aimerais éviter. 

Et ça, c’est vrai, que je fais toujours attention à ça. 
Moi, j’ai vu beaucoup de témoignages justement sur des phénomènes comme ça, d’élémentaux, etc.. et c’est vrai que moi, dans les cryptes, j’ai eu peur de ça à un moment donné, parce qu’on avait des odeurs très puissantes et quand on a un élémental dans une maison, on a des odeurs très puissantes de pourriture, de viande qui pourrit, de macchabée, etc.. c’est quand même une odeur très pestilentielle, très spéciale qu’on remarque tout de suite.  

On avait eu ça, deux, trois fois, dans les cryptes, et j’ai eu un peu peur de ça, mais maintenant, là, ça s’est calmé, je n’ai plus du tout ça.

-  Pensez-vous que tous les « habitants invisibles » de ce Château soit des âmes dites errantes ou des âmes qui veulent sciemment rester là ?

V.G. :  Je suis persuadée qu’on a les deux.
On a des gens qui veulent vraiment rester là, qu’on a essayé de faire monter, mais, je suis désolée, on est pas là pour les virer si ils ne le veulent pas, ils refusaient, donc, je pense qu’il y en a qui n’ont pas compris que leur parcours était terminé, ils n'ont pas compris qu’ils étaient décédés, et que maintenant, il fallait impérativement qu’ils quittent ce monde matériel, ils sont encore accrochés parce qu’ils ont encore des réflexes de vivant, ils ont peur de partir, en tout cas, c’est ce qu’il nous ont expliqué, qu’ils avaient peur de quitter Fougeret, ça les angoisse, donc, on les laisse.

Et on en a, qui nous ont clairement laissé des messages, très clair en TCI : « aidez moi ».  Là, il y en a qui cherchent à partir et là, ceux là, il y en a qu’on a aider à partir, et d'autres... parce que les « Passeurs d’âmes » très franchement, j’en ai rencontré beaucoup de rigolos, alors, je me méfie un peu…

-  Comment expliquez-vous que ce Château ait autant de manifestation par rapport à d’autre ?

V.G. :  C’est une conjonction entre des faits naturels et culturels.
Naturels, des forces telluriques qu’on peut pas nier, à moins qu’on dise que la géobiologie, c’est n’importe quoi, mais la géobiologie, c’est quand même empiriquement démontrée. (si ça ne l'est pas scientifiquement)
On est sur une falaise, déjà, où il y a des failles, ensuite, il y a deux sources qui passent sous le Château et on a des caisses de résonances entre les sources et les failles, etc…  ce sont les grottes, qui ont un petit peu le rôle d’une enceinte qui amplifient tout.
Tout ça fait que l’on a beaucoup de manifestations ici.
  
-  Avez-vous parfois peur dans ce Château ?

V.G. :  Par surprise, bien sûr.

-  Diriez-vous qu’il y a  une sorte complicité entre vous désormais ?

V.G. :  Je le pense, je pense qu’il y a une certaine complicité parce que j’arrive à ressentir quand  Félix n’est pas content, par exemple.

Quand il m’empêche de rentrer dans sa chambre,  qu’il la verrouille tout seul, ça c’est hallucinant, parce que, ça m’est arrivé.

C’était le jour de l’ouverture, l’année dernière, et ce jour-là, on attendait pas mal de monde, parce qu’on avez un événement pour l’ouverture, et je vérifiais les oreillers, les draps, etc… je me baladais dans les couloirs, et à un moment donné, ça faisait 15 fois que je rentrais, j’étais toute seule dedans, François était dehors, et je veux rentrer, la porte était bloquée !  j’ai cru que c’était le bois qui avait gonflé, je cogne un peu, ça ne s’ouvre pas;  je passe donc, par derrière, et j’ai vu que le loquet était fermé ! (car, il y a un petit loquet dans le bureau de Félix)  j’ai halluciné !
Alors, je l’ai verrouillé, déverrouillé, et il faut vraiment forcer en plus, je ne comprenais pas. Ensuite, j’étais en train d’observer, et d’un seul coup,  j’ai tout lâcher, je suis partie, car j’ai vraiment senti quelqu’un derrière moi, à mon avis c’était Félix.

Et il dit régulièrement à une amie médium, qu’il n’aime pas le monde, qu’il n’aime pas qu’il y ait trop gens.

-  Quel a été à votre avis, la manifestation la plus impressionnante que vous ayez vécu dans ce Château ou qui vous a été rapportée ?

V.G. :  Moi, ce que j’ai vécu de plus impressionnant, m’est arrivé 4 ou 5 fois depuis que je suis là, mais j’avoue que c’est vraiment impressionnant, c’est les manifestations visuelles.

Parce que j’ai souvent entendu des voix, des brouhaha ici, et là, j’arrête tout, je me mets à l’écoute,  je ne comprends pas ce qu’ils disent, mais, je sais qu’il a quelqu’un.

Mais ce qui m’a vraiment impressionné, c’est les rares fois où j’ai vu des silhouettes.

C’est des silhouettes noires, c’est comme de la fumée de pneu, c’est assez dense, mais par contre, c’est pas mal découpées, d’ailleurs, on voit la tête, les épaules, je me rappelle parfaitement, la tête, les épaules, le profile, les jambes, etc.. et ça glisse, c’est assez rapide aussi, mais, c’est net, et le peu que j'ai vu, sur le temps,  j’étais abasourdie ! À chaque fois, ça me sèche, ça me paralyse, c’est vraiment impressionnant. 

Et d’ailleurs, le fait le plus important qu’on m’a rapporté, c’est quand dans la « Chambre aux Échauguettes » ils ont vu, justement, un homme, en silhouette, traverser la chambre et s’approcher tellement près de Lionel (Lionel Roggia) le médium, que ça lui a tapé l’épaule, là, il y a eu un cas de panique avéré, parce que tout le monde l’a vu. C’est quand même impressionnant.

-  Quelle a été votre plus belle expérience ?

V.G. :  alors, moi, ma plus belle expérience ici, il n'y a pas très longtemps, étonnamment.

Comme on fait beaucoup de spiritismes, beaucoup d’expériences comme ça, il a beaucoup qui nous disent que c’est de la télékinésie, que c’est nous qui, en fait, provoquons ça, sans le faire exprès, que c'est des micro-mouvements musculaires, en tout cas, c’est ce que les scientifiques disent, et des fois, j’ai le doute, et je me dis, si ça se trouve, oui, c’est nous qui provoquons ça, et en fait, j’ai vraiment été touchée par cette soirée avec ma copine, Julie, (Julie Havel) de l’association, tout ça, et il y avait, Clarisse (Clarisse Berger) Médium.
Clarisse, était en train de faire des vies antérieures avec un groupe, ce groupe est passé avec moi au guéridon et on a eu, quasiment les mêmes messages en épelant les noms etc..  et après, Julie, a confirmé avec la Oui-ja. Elle a eu les mêmes messages avec ces personnes.

Ce qu’il faut se dire, quand même, c’est qu’on était toutes dans nos pièces respectives en train de recevoir des groupes et on ne s’est absolument pas concerté l’une et l’autre pendant toute la soirée et on a été touchées, mais vraiment touchées. 
Parce qu’on se dit, mais, c’est incroyable, ils sont vraiment avec nous ce soir, parce qu’on a eu que des choses touchantes et complètement cohérentes, alors que parfois, quand le guéridon, s’amuse à faire de la lévitation, à voler pour nous faire plaisir, ou qu'au Oui-ja, la goutte part dans tous les sens, on sent bien que c’est pour nous faire plaisir, mais il n’y a pas de sens derrière, et là, j’étais vraiment très touchée.

Parce qu’on a Clarisse qui est médium, moi, au guéridon et Julie à la Oui-ja, (Julie, qui est très ouverte, et qui fait beaucoup de stages en énergétique) on a eu strictement la même chose, et là, franchement, moi, j’étais sidérée.
On s’est dit, que c’était vraiment extraordinaire ce soir-là.

Ce soir-là, Fougeret était en état de grâce.  

C’était une soirée associative sur les rencontres spirite qu’on fait parfois, avec des expériences, des initiations, etc... et ce soir-là, on était en état de grâce, c’était formidable.

-  Pourriez-vous nous parler de l’Association ?

Alors, on a créé une association, maintenant, on est devenu des proches, avec des gens qui viennent régulièrement, car on organise des journées du patrimoine, des sessions chantier avant ouverture, on fait des rencontres spirite avec des gens de l’association qui sont, Julie à la Oui-ja, Frédéric, qui est très ouvert, s’occupe de tout ce qui pendule, etc..  Sophie, Marina et moi, on se relaie au guéridon pour garder assez d’énergie toute la soirée.
Clarisse fait partie de l’association. 
On est un petit groupe comme ça, on organise des soirées, on fait des repas… et tout l’argent de l’association, va 100 % aux profit des travaux.
On fait de gros travaux avec l’argent de l’association, ce n'est absolument pas pour des enrichissements personnels, mais, pour l’amélioration de Fougeret.

-  Ecrirez-vous un livre sur Fougeret ?

V.G : Si j’écris un livre sur Fougeret, j’espère que je ne vais pas saouler les gens, mais ça serait en trois volumes. 

C’est-à-dire, je veux vraiment scinder mon arrivée et la découverte, complètement en parallèle avec l’autre Château, qui m’a aidé à comprendre beaucoup de choses par rapport à Fougeret; parce que, comme je l’ai dit, il y des dates clés, tout ça, c’est en rapport avec des vies antérieures, c’est vraiment très précis.

Après, ce que je vis en ce moment, je suis au tome II je dirais, et le tome III, dans ma tête, ça va vraiment être, je pense, qu’il y a beaucoup de choses à comprendre, je vais voir quand j’aurai mieux compris, car, pour moi, il y a forcément quelque chose à comprendre et il manque une clé là, et ça sera LA clé !

Je vous remercie

Remercie Véronique Geffroy pour son aimable participation 

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